La puce optique isolinéaire constitue l'élément primaire de stockage des données informatiques. Afin de soulager l'ordinateur central, chacune de ces merveilles de nanotechnologie contenant jusqu'à 2,15 kiloquads de données, est pourvue d'un processeur intégré qui assure le traitement de ces données.
La puissance brute de la mémoire centrale repose sur 2048 modules de 144 puces optiques isolinéaires.
Le traitement des données est accéléré de 335% par l'emploi d'un champ subspatial enveloppant le sommet du noyau supérieur, qui propulse les échanges optiques de données dans le domaine supraluminique.
Les puces isolinéaires, composées notamment de platine et d'iridium, sont disposées horizontalement ou verticalement, selon le système du vaisseau concerné. Elles fonctionnent en conjonction avec les nanoprocesseurs de bord.
Les mémoires centrales distinctes et interconnectées des ordinateurs d'un spationef assurent la gestion de toutes les opérations automatisées. La puce isolinéaire fonctionne en conjonction avec ces dispositifs pour transporter et stocker les informations sous forme mobile.