Originaires de la planète du même nom, les Trills ont construit une architecture urbaine, esthétique et évoluée, qui fait la part belle aux parcs et aux jardins.
La plupart des Trills sont identifiables de par les marques brunes présentes sur leur visage et leur corps.
Les Trills constituent une espèce double composée d’un symbiote vermiforme et d’un hôte Humanoïde.
Le symbiote Trill vit de multiples existences par l’entremise du corps de ses hôtes successifs. Les relations entre les deux organismes sont des plus complexes. L’espèce double intègre la personnalité des deux composantes, tout en conservant les souvenirs et les personnalités de tous les hôtes précédents.
Tous les Trills ne vivent pas en symbiose, les hôtes sont rigoureusement sélectionnés. Chaque année, sur 5.000 candidats seuls 300 sont retenus.
Avant d’être unis à un hôte, les symbiotes vivent dans des bassins emplis d’un liquide laiteux dans les cavernes de Mak’Ala. C’est à cet endroit qu’ils doivent revenir pour se reproduire. En dehors de ces bassins, ils ne peuvent survivre indépendamment de leur hôte.
Lorsque le choix de l’hôte a été fait, le symbiote est introduit chirurgicalement dans son abdomen, de la même manière qu’une greffe d’organe est effectuée chez d’autres espèces. Un des principaux neurotransmetteurs présents lors de la symbiose est l’isoboramine qui régule les connexions neurales entre le symbiote et son hôte.
Si le taux d’isoboramine tombe en dessous de 40% par rapport à la normale, cela entraîne la mort du symbiote et/ou celui de l’hôte.