L’USS Enterprise NCC-1701 approche de Pollux IV lorsqu'une main gigantesque apparaît et se saisit du vaisseau. Un visage d'homme fait aussi son apparition, qui souhaite la bienvenue à l'équipage de Kirk, mais exige que celui-ci lui obéisse, faute de quoi il écrasera le vaisseau.
Laissant Spock sur le pont, Kirk prend la tête d'un détachement pour se rendre à la surface de la planète. Un homme, assis dans un temple grec, déclare être le dieu grec Apollon. L'équipage de Kirk doit rester sur Pollux IV et le vénérer. Devant le refus de Kirk, Apollon devient gigantesque puis disparaît.
Quelques minutes plus tard, il est de retour. De toute évidence, il est fortement attiré par l'archéologue de l'Enterprise, le Lieutenant Carolyn Palamas, il change son uniforme en vêtement grec et l'entraîne. Il lui dit que les autres dieux ont abandonné leur enveloppe charnelle, mais qu'il savait, lui, que l'humanité les retrouverait. Il veut que Palamas devienne sa compagne.
Kirk projette de provoquer Apollon pour le forcer à utiliser ses pouvoirs, dans l'espoir de l'attaquer tandis qu'il sera affaibli. Au retour d'Apollon, Kirk lui annonce qu'il ne sera pas adoré. Apollon est sur le point d'attaquer, mais Palamas parvient à l'en dissuader.
Plus tard, Palamas va trouver les officiers de Starfleet et leur explique qu'Apollon veut simplement leur ménager un paradis. Elle ajoute qu'elle aime Apollon, mais Kirk la convainc que, pour sauver l'équipage de l'asservissement, elle doit repousser Apollon. Spock parvient à contacter Kirk et lui apprend que le temple est une source d'énergie.
Palamas retourne auprès d'Apollon pour lui annoncer qu'elle n'a fait que l'étudier. Furieux, il déclenche un violent orage. Au plus fort de la tempête, Kirk ordonne à Spock de tirer sur le temple avec les phaseurs de l'Enterprise.
Apollon est impuissant à empêcher la destruction de l'édifice. Debout au milieu des ruines, il se rend finalement compte que l'humanité a évolué plus rapidement que lui.
Comme les autres dieux avant lui, il abandonne son existence physique : les vents dispersent son enveloppe charnelle.
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