La navette du Commander Chakotay se pose en catastrophe sur un monde Alien déchiré par la guerre. Capturé par trois membres d'un commando en patrouille dans la forêt, il est amené à leur camp.

Leur chef, Brone, exige que l'on délie Chakotay, qui ne porte pas les couleurs de l'ennemi. Chakotay passe la nuit au camp et apprend que ces individus sont des Voris, en guerre contre les Kradins.

Au petit matin, Chakotay et le soldat Namon se rendent sur le site du crash, mais il n'y a pratiquement rien à récupérer. Soudain, les Kradins attaquent. Namon est tué avant que les troupes de Brone n'interviennent pour repousser les Kradins.

Chakotay part avec l'escouade de Brone en direction du Septième Contingent. Ils découvrent que les Voris de ce camp ont été massacrés. Les Kradins attaquent une nouvelle fois. Chakotay se trouve séparé des soldats Voris. Épuisé, il arrive à un village où il est accueilli en « glorieux défenseur », une fillette lui passe une guirlande autour du cou.

Peu après son départ, le village est attaqué. Chakotay, revenu sur ses pas, est capturé avec les villageois par les Kradins. Les anciens se voient emmenés pour être exterminés. Fou de rage, Chakotay injurie le Commandant Kradin. Il est conduit dans la forêt et ligoté au sol, avant d'être secouru par Brone.

Entendant l'ennemi approcher, un Chakotay plein de haine s'apprête à combattre... mais il perçoit une voix familière. Devant lui se dresse un soldat Kradin: Tuvok ! Le Vulcain est venu avec les Kradins pour sauver le Commander.

Les Voris l'ont capturé après le crash de sa navette et se sont servis de techniques de lavage de cerveau pour le recruter au sein de leurs propres forces. Tuvok ramène Chakotay au village pour le convaincre. Les villageois l'accueillent comme si c'était la première fois : ce sont des simulations.

De retour à bord de l'USS Voyager NCC-74656, Chakotay est physiquement en forme, mais il sait que ses blessures psychologiques seront longues à cicatriser.

Banque de données

• Les Voris prétendent que les Kradins profanent leurs croyances en tournant les dépouilles des morts face au ciel, afin qu'ils ne descendent jamais dans le « longtemps après ».