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Les Boraalans forment un peuple pacifique qui, depuis des siècles, mène une existence d'une grande simplicité sur la planète Boraal II. Leur société villageoise est placée sous la direction spirituelle et sociale d'un « Voyant ».

Boraalans

La culture Boraalane est d'une belle richesse, mais son niveau technologique est inférieur à celui de la Fédération, les gadgets mécaniques et électroniques sont extrêmement rares, et les Boraalans n'ont nulle conscience de l'existence d'une vie en dehors de leur planète.

Le mode d'existence, la société et le développement de cette culture, comme ceux d'autres civilisations primitives, intéressent vivement la Fédération Unie des Planètes, mais il s'écoulera beaucoup de temps encore avant que les Boraalans ne soient prêts à être contactés. Les scientifiques de la FUP peuvent observer la culture Boraalane, mais la Prime Directive leur interdit toute ingérence.

Ce sont des humanoïdes, qui se distinguent physiquement des êtres humains par une sorte de crête prolongeant leur arête nasale. Au sein des petites communautés villageoises, on note la présence d'individus dont la pigmentation rappelle celle des différents groupes ethniques présents sur Terre, mais cette diversité est sans doute comparable à celle de la couleur des cheveux chez les Humains plutôt qu'à une diversité raciale : en effet, il n'est pas rare que les membres d'une même famille présentent différentes couleurs de peau.

Les Boraalans portent des vêtements sobres aux coloris ternes, taillés dans des étoffes grossières. Les femmes sont vêtues de longues jupes, et la plupart des hommes portent des sortes de cagoules. Les mariages sont souvent arrangés à l'avance : les pères proposent leurs filles à des hommes qui feront à leurs yeux des maris convenables.

Les Boraalans attachent une grande importance à l'histoire. Dans certains villages, un membre de la communauté, désigné comme « chroniqueur », tient à jour l'histoire écrite de celle-ci. C'est ainsi que les enfants apprennent qui étaient leurs ancêtres et d'où ils venaient.Fleche retour haut

Dobara

Les Boraalans savent que les récits peuvent varier d'un conteur à l'autre, mais que la chronique, consignée sur des rouleaux dans une écriture évoquant les hiéroglyphes de l'Égypte antique, une ancienne civilisation de la Terre, est pérenne. Pour les Boraalans, sans le passé l'avenir ne signifie rien.

En 2370, l'existence du Peuple Boraalan est subitement menacée : l'atmosphère de sa planète commence à se dissiper, ce qui provoque de meurtrières tempêtes de radiations. Les survivants du dernier village se préparent à mourir lorsqu'un certain Nikolai entreprend de les conduire tous dans des cavernes voisines, qui doivent leur fournir une protection temporaire.

Les villageois ignorent que Nikolai se nomme en réalité Nikolai Rozhenko, observateur culturel venu étudier leur planète. Ils croient qu'il vient d'un autre village, alors qu'il est issu d'un autre monde, la planète Terre.

Nikolai les téléporte à leur insu vers le holodeck de l'USS Enterprise NCC-1701-D, qu'il a programmé pour qu'il ait l'aspect de la caverne dans laquelle ils s'abritent.

Boraalan et Nikolai

Comme le transfert s'effectue pendant leur sommeil, les Boraalans ne remarquent rien. Nikolai les entraîne ensuite à travers les galeries souterraines, pour les mener vers ce qu'il prétend être une région de leur planète mère épargnée par les tempêtes.

En fait, ils quittent les cavernes du holodeck pour pénétrer dans un programme évoquant la surface de Vacca VI : c'est sur cette planète qu'ils pourront poursuivre leur existence en toute sécurité, une existence en tout point semblable à celle qu'ils connaissent depuis des générations, mais sur un monde différent, loin de leur système stellaire natal.

Banque de données

  • Le Voyant du village Boraalan est tué par les tempêtes de plasma. Puisqu'il n'est plus là pour les guider, les villageois s'en remettent à Nikolai.
  • Le Capitaine Jean-Luc Picard déplore la décision prise par Vorin de mettre fin à ses jours. S'il avait vécu, il aurait pu devenir un lien précieux entre la Fédération et son peuple, et permettre ainsi l'établissement d'un premier contact dans les règles.
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