CARACTERISTIQUES TECHNIQUES |
Type | Chaland Transporteur d'Ordures Malon |
Unité produite | Inconnue |
Dimensions | Longueur : + ou - 800 m Largeur : + ou - 300 m Hauteur : + ou moin 350 m Ponts : 42 |
Masse | Capable de transporter plus de 4 milliards isotons de fret |
Membres d’équipage | Une centaine |
Vitesses | Normale : -- Maximum : Warp 9 Maximum enregistré : -- |
Armements | 8 lanceurs de charges lourdes |
Systèmes de défense | Boucliers standard d'une capacité totale de 1 890 000 Terra Joules Coque double couche en duranium/tritanium Champs d'intégrité structurelle de niveau faible |
Capacité diplomatique | Aucune |
Durée de vie nominale | -- |
Cycle d'entretien | Mineur,
Standard ou Majeur : Inconnu |
Notes : Les Malons sont une race technologiquement avancée, mais le prix en est une pollution excessive, cette civilisation génère 6 milliards d'Isotons de déchets industriels par jour. Au moins un Capitaine Malon peu scrupuleux a découvert un moyen innovant de se débarrasser de ce produit non désiré et encombrant : le déverser dans une région lointaine de l'espace, accessible via un Vortex Spatial.
Le Chaland Transporteur d'Ordures Malon, également connu sous le nom de Vaisseau Malon d'Exportation 11ème Gradient, est de couleur brun rouille et à peu près de la longueur de 2 vaisseau de Class Intrepid. Il est composé de trois sphères massives connectées entre elles et qui sont les plus susceptibles de contenir les gigantesques soutes du vaisseau.
Elles sont constituées de plaques segmentées et reliées entre elles par quatre tubes courant sur toute la longueur du navire. Les sphères sont suspendues à une solide coque constituée de nombreuses plaques quadrillées, l'effet général est que la moitié inférieure de la coque externe du navire semble avoir été retirée, laissant l'intérieur exposé.
Un cercle jaune éclatant est situé sous la zone du nez, au centre de la sphère la plus avancée, il est attaché à un cadre circulaire grâce à un certain nombre de supports disposés comme les rayons d'une roue. Le cercle lumineux est peut être une certaine forme de soupape et semble traverser tout le vaisseau. Les joints situés entre les sphères sont de même taille et occupent un position correcte, pour appuyer cette théorie, de plus, une valve similaire est placée sur la sphère située à l'arrière.
Les moteurs Warp du Transporteur font saillie à l'arrière du vaisseau et émettent une lumière de couleur jaune. Ils sont placés de chaque côté du cercle jaune soulignant la poupe, leur forme est rectangulaire, légèrement arrondie aux angles.
Un troisième moteur Warp, de taille plus réduite, est placé au centre, au dessus des deux moteurs principaux. Ces trois moteurs formant le réseau de propulsion sont reliés les uns aux autres ainsi qu'à la coque principale par une structure formant un filet métallique.
Des systèmes d'échappements de forme circulaire et de taille réduite, sont disposés à intervalles réguliers le long de la coque du navire, recrachant dans l'espace, une vapeur de couleur jaune-verdâtre, identifiée comme étant de l'antimatière contaminée. Le Chaland a dans ses soutes, 90 millions d'isotons de ce rayonnement Thêta, extrêmement nocif, et prêt à être déversé dans l'espace, loin de la planète natale des Malons.
Attachées par des pylônes, de petites sphères sont placées en saillie, en espacement régulier, tout au long de la coque principale du navire. Montées sur ces mêmes pylônes et ainsi disposées à des endroits stratégiques, se situent les armes. Un canon est couplé avec chacune des petites sphères, quatre autres sont placés à l'avant, deux sur la coque supérieure et deux sur la coque inférieure. La même disposition existe également à l'arrière du vaisseau.
Ce formidable arsenal dément la couverture de simple Transporteur, tout comme ses impressionnants boucliers. Ils ne peuvent résister à une salve de torpilles quantiques, mais absorbent parfaitement une attaque soutenue aux phasers. Les déflecteurs apparaissent, cependant, comme étant un des points faibles du navire, particulièrement lorsque la coque est sévèrement martelée, soit par impacts de corps célestes, soit lors d'un combat.
Pour le peu scrupuleux Contrôleur Emck, son Chaland Transporteur fait partie intégrante de la forte rentabilité de son entreprise.
Il refuse la proposition de l'équipage de l'USS Voyager qui lui offre une alternative de recyclage des déchets qui supprimerait le rejet des matières polluantes dans l'espace, prétextant que cela jetterait l'industrie d'exportation dans le chaos et lui ferait perdre son emploi et surtout ses juteux bénéfices. Cette décision lui sera fatale. Son Chaland Transporteur sera détruit lors de son affrontement avec le vaisseau de la Fédération, ce qui mettra un terme définitif à ses méprisables opérations.
Les Chalands Malons se composent d'un certain nombre de niveaux et peuvent avoir jusqu'à plus de 100 membres d'équipage, le navire ayant à fournir toutes les fonctions de soutien environnemental ainsi que le fonctionnement des systèmes de navigation, de propulsion, de défense et de contrôle des déchets. Les différentes sections du navire sont reliées par d'étroites coursives, la majorité des parois est faite de plaques de métal nu, qui présentent souvent des traces de rouille dues à la présence constante de vapeurs et déchets gazeux qui stagnent constamment à bord.
De lourdes portes hydrauliques s'ouvrent et se ferment automatiquement entre les différentes sections du vaisseau lorsque les membres de l'équipage les activent.
Ces portes apportent une certaine protection au vaisseau contre les diverses émanations, mais celles-ci sont si importantes que les membres de l'équipage sont contraints de porter en permanence des gants et d'encombrantes combinaisons de protection. L'usage continuel de ces combinaisons de protection signifie que les surfaces de commande et les interfaces ont été conçues pour en permettre l'utilisation en toutes circonstances.
La composition des revêtements des cloisons intérieures du vaisseau est dictée par le besoin constant qu'ont les Malons de filtrer les polluants et les substances toxiques présentes à bord. Suivant la partie centrale des coursives, un étroit passage surélevé au-dessus duquel sont posées de grandes plaques grillagées permettant la filtration de l'air.
L'une des principales caractéristiques à l'intérieur d'un navire Malon sont les nuages de vapeur, tourbillonnant en permanence, sortant des divers tuyaux et arbres rompus mélangés au gaz plus légers que l'air, collectés en haut des coursives et illuminés par la lueur verte des différents piliers de contrôle verticaux et des réglettes murales.
L'utilisation de lumière verte donne une très bonne visibilité à l'intérieur du vaisseau, malgré la présence continuelle, de gaz, mais crée une ambiance mystérieuse qui accentue le sentiment de claustrophobie. Plusieurs lampes blanches sont intégrées aux plafonds du navire, mais peinent à éclairer suffisamment les différentes pièces où alcôves dans lesquelles sont positionnées les différentes stations de contrôles utilisées dans le fonctionnement continu du Transporteur. Le plafond de chaque pont comporte une série de grilles circulaires conçues pour permettre une ventilation supplémentaire, mais cela ne permet pas de mieux gérer la présence des matériaux toxiques à bord du vaisseau.
Une série d'arc-boutant intégrés dans les cloisons métalliques sont placés à intervalles réguliers le long de la plupart des coursives ainsi qu'au niveau des jonctions entre elles et dans les zones de contrôles. La partie supérieure de ces poutres incurvées est découpée pour révéler une série de fentes laissant filtrer une brillante lumière blanche, tandis que les sections situées juste en dessous laissent entrevoir une série complexe de soupapes et de conduits permettant à l'équipage Malon d'accéder aux différents systèmes avec facilité.
Une série de bandes lumineuses derrière et autour de cette zone exposée fournit assez de lumière pour pouvoir travailler sur ces différents systèmes, d'autres sources lumineuses sont placées au-dessus et autour des containeurs et des zones de contrôle des stocks afin de fournir à l'équipage un éclairage à peu près correct pour réaliser leurs difficiles fonctions.
Les interfaces de contrôles Malon sont très basiques, malgré la nature sophistiquée de leurs vaisseaux, et consistent en de nombreux leviers et boutons de contrôle intégrés dans les cloisons ou dans de robustes consoles.
Des lumières rouges clignotantes indiquent le statut particulier de certaines consoles, comprenant des écrans informatiques délivrant des informations. Les cloisons intérieures du poste de commandement sont constituées de petits panneaux carrés placés les uns contre les autres, auprès desquels les fûts et les containeurs sont empilés et dans lesquels des lampes murales sont montées.
Sur la passerelle, les postes de travail sont positionnés les uns en face des autres et permettent à trois membres d'équipage au moins d'opérer sur différents systèmes en même temps.
En cas d'urgence, un klaxon d'avertissement très bruyant s'active automatiquement et peut être entendu sur tout le vaisseau, l'équipage peut alors déterminer la nature du problème à partir d'un mélange de cadrans de pression analogiques reliés aux citernes de déchets et de systèmes capteurs plus sophistiqués au niveau des postes de travail.
Les zones de contrôle Malon, ne sont pas équipées de fauteuils, ce qui permet aux membres de l'équipage de se déplacer relativement rapidement entre les stations de travail, malgré leurs encombrantes combinaisons, pour isoler les ponts et activer les champs de contention contre toute nouvelle contamination du vaisseau.
Des touches sensitives supplémentaires permettent la manipulation des systèmes d'urgence, et, en cas de crise extrême, il est théoriquement possible de larguer un réservoir individuel dans l'espace, bien que le mauvais état dans lequel se trouve la plupart des chalands à ordures, empêche toute manœuvre de largage ainsi que la mise en œuvre des systèmes primaires.
Au cas où la manœuvre de largage ne répond pas aux commandes, un membre de l'équipage doit descendre dans le réservoir de stockage des déchets et sceller manuellement le réservoir défectueux.
Dans des circonstances normales, les stations de travail peuvent être utilisées pour envoyer un membre de l'équipage s'étant engager pour mener à bien ces dangereuses procédures.
Dans les cas où ces systèmes ne fonctionnent pas, un membre du personnel de la zone de contrôle sera envoyé vers les réservoirs d'où proviennent les fuites mortelles afin de procéder à la réparation et sauver le navire d'une brèche catastrophique provoquant l'envahissement du vaisseau par les rayonnements Thêta.
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