CARACTERISTIQUES TECHNIQUES |
Affiliation | Fédération |
Type | Explorateur léger / Scout |
Unités en service | 50 unités mises en service depuis 2 371 - 15 détruites - Ce modèle de spationef est toujours en production |
Dimensions | Longueur : 343 m Largeur : 133 m Hauteur : 66 m Ponts : 15 |
Masse | 700 000 tonnes |
Equipage | 141 |
Vitesses "Warp" | Normale : Warp 8 Maximum : Warp 9,975 Maximum enregistré : Warp 9.985 pendant 12 heures |
Armements | 13 phaseurs de type VIII, puissance totale de 10 000 Terra Watts 5 tubes lance torpilles à photons + 38 torpilles |
Systèmes de défense | Boucliers standard d'une capacité totale de 729 000 Terra Joules Coque simple couche en duranium/tritanium Champs d'intégrité structurelle de niveau standard |
Indices de puissance (Class Galaxy = 1 000) |
Puissance armes à énergie : 200 Puissance torpilles : 625 Portée et précision des armes : 440 Puissance des boucliers : 270 Blindage : 50 Vitesse : 3 526 Manoeuvrabilité en combat : 9 100 |
Indice global | 591 |
Capacité diplomatique | Niveau 3 |
Durée de vie nominale | 80 ans |
Cycle d'entretien | Mineur et standard : 1 an Majeur : 20 ans |
Notes : Au cours des dernières années, la politique de Starfleet a été de construire des vaisseaux de plus en plus gros, capables de remplir une large variété de missions, parfois même simultanément, ce qui a progressivement conduit à une baisse du nombre de vaisseaux pouvant être alignés.
Là où le nombre de Class Excelsior était de plus d'une centaine d'unités, le nombre d'Ambassador était de 26 et même si le nombre de vaisseaux produit a finalement été étendu, le Class Galaxy devait initialement être limité à 6 unités seulement.
Alors que la capacité d'exploration de ces nouveaux vaisseaux est encore suffisante pour répondre aux tâches exigées d'eux, leur nombre restreint à conduit à une restriction de leur flexibilité.
De plus, les pertes subies parmi les vaisseaux de Class Galaxy ont souligné que le placement de "tous les œufs dans le même panier" n'était pas nécessairement le choix le plus sage.
L'Intrepid fut conçu en partie pour faire face à ce problème. Le cahier des charges, évoquait un vaisseau de 360 mètres de long environ, avec un volume métrique correspondant à environ 15% de celui d'un Class Galaxy. Bien que sa taille limitée signifiait que son potentiel serait beaucoup plus faible, ce handicap devait être compensé par l'utilisation d'une technologie de pointe.
Les systèmes informatiques figureraient parmi les modèles en service les plus avancés. Une automatisation plus poussée combinée avec une nouvelle génération d'équipement de détection donne au Class Intrepid près de 30% des capacités de numérisation et d'analyse du Class Galaxy. Une vitesse de croisière élevée allait encore conforter l’Intrepid dans son rôle de navire d’exploration de pointe.
Ses capacités diplomatiques sont par contre plus problématiques, car de telles fonctions requièrent le soutien d'un grand nombre de personnel supplémentaire et ne disposant que 257 quartiers, le navire n'a tout simplement pas la place nécessaire. Elles sont donc limitées à des événements n'impliquant que la Fédération et une seule autre partie.
L'Intrepid est également limité par sa taille, en tant que vaisseau de combat, il est incapable d'embarquer un grand nombre de torpilles ou des banques de phasers à haute énergie. Il est donc spécialisé dans les missions de reconnaissance et de soutien. Equipé de phasers de type VIII et d’un unique tube lance torpilles, le Class Intrepid est néanmoins capable de se mesurer à des navires équivalents à un oiseau de proie.
Sa vitesse élevée et sa grande maniabilité, combinées avec son système de détection très avancé en fait également la plateforme idéale pour effectuer des missions de reconnaissance en avant des opérations de la flotte. Lors d'une bataille importante, l'Intrepid agirait également en tant que soutien des vaisseaux plus importants en harcelant les unités ennemies et en détournant les tirs des vaisseaux fédéraux plus stratégiques.
En cours de développement, le Class Intrepid fut utilisé comme banc d'essai pour solutionner les dégâts considérables et cumulatifs infligés au subespace par les propulsions à distorsion. Après quelques essais, les ingénieurs purent déterminer qu'un champ de distorsion prolongé dans l'axe Z pouvait éviter ces effets s'il était combiné avec une modulation complexe du champ de distorsion et de l'utilisation de nouveaux matériaux lors de la fabrication des bobines. Cela a conduit à la forme en ellipse du module soucoupe qui tend à devenir commune dans la conception des nouveaux vaisseaux.
La nouvelle configuration du champ de distorsion amena une réduction de 15% de la vitesse sur tous les régimes de vols, descendant la vitesse de croisière maximale de Warp 9.99 à Warp 9.975 et la vitesse de pointe de Warp 9.992 à Warp 9.985.
Le programme Intrepid a subi un sérieux revers lorsque l'USS Voyager, deuxième vaisseau de ce type a apparemment disparu et fut considéré comme perdu dès sa première mission. La construction fut aussitôt suspendue tandis que le design était soumis à un examen minutieux. Après un an, sans découverte de défaut majeur, le projet Intrepid fut relancé.
On découvrira par la suite que le Voyager avait, en fait, été projeté de l'autre côté de la Galaxie par une technologie Alien. Après avoir bataillé durant 7 ans pour regagner la Fédération, Voyager, sous le commandement de Kathryn Janeway a pu enfin rentrer sur Terre en empruntant un conduit de transdistorsion Borg.
La caractéristique particulière du Class Intrepid par rapport aux autres vaisseaux de sa taille est la capacité qu'il possède de se poser à la surface d'une planète. Cette fonctionnalité a été mise au point après la survenue de plusieurs incidents dans lesquels les téléporteurs et les navettes ont été incapables de fonctionner dans des conditions environnementales particulières, lors d'évacuations ou d'autres opérations.