L’USS Voyager NCC-74656 téléporte à son bord cinq capsules d'hibernation découvertes sur une planète « morte ». Deux des hibernants ont succombé à une crise cardiaque, l'esprit des trois autres est connecté à un ordinateur.

Comme il n'y a pas de moyen de défaire en toute sécurité le lien neural entre ces trois êtres, Tuvok suggère que l'on se serve des deux tubes libres pour les relier et découvrir ce qui ne va pas.

Par l'intermédiaire des tubes, Harry et B'Elanna pénètrent dans un environnement artificiel de parc d'attractions. Les personnages qui ne peuplent s'en prennent aux officiers de Starfleet. Fort heureusement, les trois hibernants surviennent et leur intiment l'ordre de cesser.

Les personnages sont dirigés par un clown que le Capitaine Janeway surnommera plus tard « Peur », il sait tout ce que font Harry et B'Elanna, et se montre décidé à les empêcher d'interrompre le programme. Peur annonce que, si les officiers partent, il tuera l'un des hibernants, mais Harry parvient à le convaincre de relâcher B'Elanna afin qu'elle puisse s'entretenir avec Janeway.

Le Capitaine envoie le Docteur négocier avec Peur, mais le clown se refuse à tout compromis. Suivant une suggestion voilée de l'un des otages, B'Elanna essaie de couper les relais optroniques pour perturber l'environnement.

Pendant qu'elle s'active, le Docteur regagne le monde de Peur avec l'espoir de détourner son attention. Tandis qu'ils parlent, le monde artificiel commence à disparaître, mais Peur a compris la situation : il tue l'un des hibernants, ce qui force Janeway à abandonner la tentative de sauvetage.

Janeway change alors de tactique. Elle renvoie le Docteur dire à Peur que, s'il ne libère pas tous les otages pour la prendre, elle, à leur place, elle fermera le programme. Subjugué, Peur accepte, Janeway arrive. Dès que les autres sont en sécurité, elle révèle qu'elle n'est qu'un hologramme, la véritable Janeway est reliée au système, mais n'est pas en stase. Privé de tout soutien, Peur disparaît.

Banque de données

• Peur a la possibilité d'accéder aux pensées de quiconque est connecté au système, mais avec un certain retard programmé.