Miles O'Brien revient sur Deep Space Nine après avoir reçu une formation de base dans le domaine des mesures de sécurité nécessaires aux pourparlers de paix qui vont avoir lieu dans le système de Parada, mais bientôt il se dit que les choses ont changé depuis son départ.

Chacun semble se lever très tôt, Bashir insiste pour qu'il fasse un check-up médical, et sa femme Keiko a des conversations furtives avec Sisko.

Le lendemain matin, Sisko confie à O'Brien des tâches sur les pylônes supérieurs, tandis que le reste de l'équipage continue de préparer la visite des Paradas.

Dans leurs quartiers, Keiko tient bizarrement à ce que Miles consomme le repas qu'elle a préparé. Il se demande si Keiko n'a pas été remplacée et si les aliments n'ont pas été empoisonnés.

De plus en plus convaincu que Sisko le tient délibérément à l'écart, O'Brien tente de consulter les journaux de bord. Il découvre que l'accès lui en est interdit depuis son retour de Parada, et que Sisko a reçu des messages de rebelles Paradans.

O'Brien fait part de ses soupçons à Odo, à Sisko et à Bashir : ils affirment ne lui vouloir aucun mal, mais ajoutent qu'il ne comprend pas la réalité de la situation.

O'Brien réquisitionne un runabout et met le cap sur Parada II, où il rattrape ses collègues. Il menace d'abattre Sisko, mais il est lui-même victime d'une arme Paradane.

Lorsque Bashir arrive avec un second O'Brien, on apprend que le chef agonisant est en fait une réplique, un tueur programmé pour « se déclencher » lors des pourparlers de paix.

Le véritable O'Brien a été enlevé alors qu'il participait à sa formation. Seuls des renseignements fournis par un rebelle Paradan ont permis à Sisko d'empêcher la réplique de Miles O'Brien de participer à l'organisation de la sécurité.

Sisko a le sentiment que la conviction qu'avait le double d'être le vrai O'Brien l'amenait à agir avec les meilleures intentions du monde.

Banque de données

• O'Brien apprend à Sisko qu'après douze années de guerre, les Paradas, qui dégagent une forte odeur se modifiant au gré de leurs humeurs, sont naturellement méfiants jusqu'à la paranoïa au sujet de la sécurité entourant les négociations de paix.