Le Commander Bruce Maddox se rend à bord de l'USS Enterprise NCC-1701-D, à la base stellaire 173, et annonce son intention de démonter Data. Cybernéticien de formation, Maddox croit que, en examinant Data, il sera à même de créer d'autres androïdes dotés d'un cerveau positronique.
Il n'a cependant pas l'air de savoir comment préserver l'intelligence de Data pendant le processus. Le Capitaine Picard émet donc des objections, mais Maddox est porteur d'instructions l'autorisant à s'assurer de la « personne » de Data.
Ne pouvant refuser son transfert, Data décide de démissionner de Starfleet. Maddox, informé des intentions de l'androïde, fait appel à la loi : il soutient que Data n'est en fait qu'une machine, propriété de Starfleet.
Philippa Louvois, représentante locale du département juridique de Starfleet, tranche en faveur de Maddox. Picard, outré, exige une audition. Il assumera la défense de Data, Riker jouant, à contrecoeur, le rôle de procureur. Au procès, l'exposé de Riker est accablant. Il démontre que Data est une machine, et finit par le désactiver.
Picard est presque certain d'être dans l'impossibilité de gagner, mais Guinan l'aide à se rendre compte de l'enjeu. Si Data est déclaré propriété de Starfleet, il sera réduit à l'état d'esclave, et après lui tous les autres androïdes.
Picard regagne la salle d'audience revigoré. Selon lui, la question de la nature « mécanique » de Data est hors de propos : après tout, les êtres humains ne sont que des machines biologiques ultraperfectionnées.
Il oblige ensuite Bruce Maddox à reconnaître qu'il est dans l'incapacité de dire en quoi Picard serait doué de sensibilité et non Data. Puis Picard se tourne vers Louvois pour souligner l'ampleur des conséquences de la décision qu'elle va prendre. Elle ne doit pas juger à la légère.
Après une brève interruption de séance, Louvois rend son verdict : Data n'est pas la propriété de Starfleet. Vaincu, Maddox annule l'ordre de transfert. Data regagne son poste sur l'Enterprise.
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