Tom Paris est amoureux de Kes, ce qui rend Neelix extrêmement jaloux. Pendant ce temps, les réserves de vivres de l'USS Voyager s'épuisent : le vaisseau est obligé de se diriger vers une planète voisine à l'atmosphère très turbulente.

Au mess, Neelix accuse Paris d'entretenir une liaison secrète avec Kes. Ils en viennent aux mains, et c'est couvert de pâtes et de sauce qu'ils répondent à une convocation du Capitaine Janeway.

Celle-ci leur ordonne de régler leur différend, puis les envoie sur la planète à bord d'une navette.

L'appareil, endommagé par des fluctuations électromagnétiques, effectue un atterrissage en catastrophe. La peau irritée par des vapeurs trigéniques, Paris et Neelix cherchent refuge dans une caverne dont ils scellent l'entrée derrière eux.

Dans l'intervalle, Voyager rencontre un vaisseau inconnu qui prend position entre la planète et lui. Quant à Tom et Neelix, ils découvrent qu'ils partagent la caverne avec une créature reptilienne qui vient d'éclore.

Torres estime qu'il serait possible de ramener Tom et Neelix à bord par téléportation, en profitant d'une brèche dans les perturbations atmosphériques, mais pour cela il faudra que Voyager pénètre dans l'atmosphère en passant devant le vaisseau inconnu.

Neelix réussit à convaincre Tom Paris de prendre soin du jeune reptile, qui de toute évidence est souffrant. Paris se rend compte que le petit être a besoin de respirer dans cette atmosphère même qui leur irrite la peau.

Le vaisseau inconnu dépasse Voyager et pénètre le premier dans l'atmosphère.

Paris et Neelix sont sortis de la caverne, leur protégé semble trop faible pour survivre, jusqu'au moment où Paris suggère de le nourrir « au biberon », en fait, à l'hypospray. Ravis de leur succès, ils s'aperçoivent qu'une amitié est née entre eux.

Avant d'être téléportés à bord de Voyager, ils ont la satisfaction de voir une créature reptilienne adulte récupérer son petit.

Banque de données

• L'équipage de l'USS Voyageur croit à tort que les niveaux élevés de protéines décelés dans l'atmosphère, protéines qui nourrissent la créature reptilienne, traduisent la présence d'une flore potentiellement comestible.