Après que Benjamin Finney, un membre d'équipage de l'USS Enterprise NCC-1701, ait été tué lors d'une violente tempête d'ions, le Capitaine James Kirk fait halte pour réparations à la Base stellaire XI, où le Commodore Stone note une contradiction entre les livres de bord de Kirk et les enregistrements informatiques du spationef.
En conséquence, Kirk devient le premier Capitaine de Starfleet à comparaître en cour martiale.
Au procès, Kirk explique que Benjamin Finney et lui-même ont jadis été amis, Finney a même choisi le nom de sa fille en hommage à Kirk. Alors que tous deux servaient à bord de l'USS Republic NCC-1371, Kirk a signalé à sa hiérarchie une négligence de Finney, ce qui a entravé la carrière de ce dernier.
Bien qu'il ne l'ait jamais pardonné à Kirk, Finney a accepté de servir avec lui à bord de l'Enterprise.
Juste avant la tempête d'ions, Kirk a envoyé Finney dans la capsule du senseur. L'alerte jaune ayant été déclarée à bord, a averti Finney qu'il lui fallait quitter la capsule.
Kirk assure avoir ensuite placé le vaisseau en état d'alerte rouge et laissé à Finney le temps de sortir avant d'être contraint d'éjecter la capsule. Pourtant, les archives informatiques montrent que Kirk a largué la capsule alors que l'astronef était encore en alerte jaune.
Kirk est défendu par l'excentrique et brillant Samuel T. Cogley. Au procès, le fichier produit accable le Capitaine. Pendant ce temps, Spock découvre que les mémoires informatiques de l'Enterprise ont été falsifiées. Comme seuls Kirk, Finney et lui-même ont cette possibilité, il en conclut que Finney n'est pas mort.
Le tribunal se transporte à bord du vaisseau, tandis que le reste de l'équipage de l'Enterprise quitte le bord. L'ordinateur, au moyen de son senseur auditif, détecte les battements de cœur de Finney, ce qui prouve qu'il est bien vivant.
Kirk retrouve Finney dans la salle de commande des machines. Fou de jalousie, Finney a décidé de tuer le Capitaine, mais, en apprenant que sa fille est à bord, avoue son acte de sabotage et se laisse maitriser.
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